L’art, l’entrepreneuriat et le droit : un trio gagnant

« Les gens ont l’habitude de ne voir que le résultat final. Ils ne voient jamais tout le travail qui précède »

Michael JACKSON.

Dans un précédent article, La créativité au service de ma profession ,je vous parlais des apports de la créativité en tant que qualité à ma profession.

Aujourd’hui, j’aborde le sujet du processus créatif et vous démontre comment l’art, l’entrepreneuriat et le droit forment un trio gagnant.

1. L’exorde de mon processus créatif: l’art

« Lorsque l’on garde tout pour soi, on finit par vivre sur ses réserves et par se dessécher. Si l’on donne tout ce que l’on a, il ne reste plus rien. Cela force à ouvrir les yeux, à prêter attention, à s’alimenter … Et plus on donne, plus on reçoit. »

Paul ARDEN

Mon processus créatif commence dans ma « wunderkammern » : mon « cabinet de curiosités ». C’est un bureau « physique », sans écrans : que du papier, des livres, de la peinture acrylique, des spalters, des pinceaux, des feutres, des journaux, des magazines, du fusain et des carnets et châssis entoilés. C’est mon « atelier », mon « studio ».

Et comme le dit si bien Austin KLEON dans son livre « Montrez votre travail », « Nous avons tous nos collections adorées. Elles peuvent reposer dans de vrais cabinets de curiosités – des étagères au mur du salon, croulant sous nos romans, albums et films favoris – ou au sein de musées intangibles du cœur, dans notre crâne rempli de souvenirs de voyages, de rencontres, d’expériences. Nous portons tous en nous des moments étrangers et merveilleux crées au hasard du travail et de la vie. Ces carnets d’inspiration mentaux forment nos goûts, et nos goûts influencent notre travail. La lecture nourrit l’écriture, et vice versa ».

Mon hobby nourrit ma profession et compense la rigidité du droit.

C’est à partir de là qu’émergent mes meilleures idées de contenu, de formations, de livres, d’articles de blog que je crée pour mon audience. C’est aussi à partir de là que j’émets la meilleure charte graphique (à mes yeux), les meilleures présentations lorsque je dispense des formations.

Ce à quoi je veux en venir, c’est que pour créer et délivrer de la valeur, trouver de nouvelles idées, et ce, peu importe votre profession ou le secteur d’activité dans lequel vous entreprenez, il faut d’abord se nourrir : de lectures, d’inspirations, de découvertes : artistiques, entrepreneuriales, scientifiques etc.  C’est à partir de là que naissent des idées et des solutions novatrices, qui vous permettront de sortir des sentiers battus et de penser « hors du cadre ».

2. La formation opérationnelle: l’entrepreneuriat

2.1. Le terrain: observer et apprendre des entrepreneurs

« Ce qu’il faut, c’est suivre et être suivi par des personnes qui s’intéressent aux mêmes choses que vous. À ce que nous construisons ensemble. On en appelle au cœur et à l’âme, pas simplement aux vues. »

Jeffrey ZELDMAN

Ma clientèle est composée pour l’essentiel de porteurs de projet, d’entrepreneurs, de startups : si je ne parle pas le même langage qu’eux, je ne parviendrai pas à identifier et anticiper leurs attentes et leurs besoins aussi parfaitement que si je m’immergeais totalement dans leur univers.

Alors, je dois me former à l’entrepreneuriat, m’immiscer dans cet écosystème. Je dois comprendre et maîtriser des concepts aussi basiques que le CTA (call to action), le lead magnet, le growth hacking, pour pouvoir expliquer à un porteur de projet quels sont les enjeux juridiques derrière chaque action qu’il entreprend.

Un blogueur sous le régime de la microentreprise ne devrait pas attendre de passer en société pour commencer à se poser les bonnes questions juridiques : il est concerné par ces problématiques dès lors qu’il passera de l’idée au projet (au même titre qu’un entrepreneur en lean startup) :  ses mentions légales sont-elles complètes, sa politique de confidentialité est-elle claire ? A-t-il effectué une recherche d’antériorité avant de réserver son nom de domaine ? Un autre concurrent exploite-t-il ce nom de domaine sous une autre extension ? A-t-il déposé sa marque concomitamment à la réservation de son nom de domaine ? Quelles classes devrait-il réserver sur le site de l’INPI ? Qu’en est-il de la rédaction de ses conditions générales d’utilisation ? A-t-il pensé à limiter sa responsabilité pour tout ce qui pourra être dit au sein de la rubrique des commentaires ? S’il opère dans le secteur du e-Commerce, a-t-il pensé à mettre en place des CGV et à les faire accepter par chaque utilisateur afin de les rendre opposables à ces derniers ? Comment collecte-t-il les données des internautes pour envoyer sa newsletter hebdomadaire ou mensuelle ?

2.2. Entreprendre au sein de l’écosystème pour transmettre

« Donnez aux gens les moyens de s’améliorer là où ils en ont envie »

Kathy SIERRA.

Les entrepreneurs ont beaucoup à nous apporter et à nous apprendre pour qu’on leur propose, à notre tour, des solutions novatrices. Nous sommes, des entrepreneurs du droit et pour innover, nous devons nous former de la même manière que notre clientèle : le marketing, le branding, le copywriting doivent nous être familiers.

En créant La Box Juridique (le volet entrepreneurial de mon activité) j’ai eu à cœur de transmettre : expliquer de manière simple, par le biais d’articles de blog courts et pragmatiques, des concepts, des mécanismes, des solutions. C’est par là que passe un bon accès au droit.

Avec La Box Juridique, je mets la formation et l’information au service de l’innovation, et l’innovation au cœur de la transmission.

La Box Juridique, c’est l’alliance de l’entrepreneuriat et du droit :

  • Le droit en tant qu’outil, auquel chaque entrepreneur devrait recourir pour créer, développer, sécuriser et pérenniser son projet entrepreneurial ;
  • L’entrepreneuriat parce qu’un entrepreneur du droit innove en proposant des outils novateurs et adaptés aux besoins de sa clientèle.

Avec La Box Juridique, je vous prouve au quotidien que chaque porteur de projet devrait entreprendre sereinement sans percevoir le droit comme un frein à l’entrepreneuriat, mais comme un véritable outil, indispensable à chaque étape de son développement.

Si vous n’avez pas la possibilité de vous faire accompagner aujourd’hui par un avocat, je vous proposerai des formations, des guides, des offres (en cours de création), à des tarifs préférentiels, qui vont encore plus loin que les articles que je publie sur le blog toutes les semaines, pour dépasser vos blocages administratifs et juridiques.

Je vous propose des solutions, clé en main, pour passer dans un premier temps de l’idée au projet : pour passer enfin à l’action.

3. Le droit: un moyen pour atteindre vos objectifs

« Le droit soutient le vigilant ».

 Proverbe du droit civil ; Le dictionnaire des sentences et proverbes (1892)

Le droit est donc la dernière étape de mon processus créatif. J’accompagne les porteurs de projet dans leur aventure entrepreneuriale. C’est là que j’interviens.

Lorsque j’accompagne un porteur de projet pour structurer son projet, j’ai déjà une vision 360° de ses besoins en tant que client, et je suis en mesure de lui proposer des solutions pertinentes et adaptées à ses besoins, conformément à la législation et à la réglementation en vigueur, et en prenant en compte la dimension business de son projet.

Mes missions seront les suivantes :

CONSEILLER– nous élaborerons ensemble une stratégie adaptée à ses besoins : choix d’un cadre juridique, d’une forme sociale, rédaction de ses premiers contrats ;

CRÉER – le passage de l’idée au projet nécessitera la mise en place d’un plan d’action précis et adapté aux besoins de mon client : création d’une structure dédiée à son projet etc. ;

ACCOMPAGNER – accompagner le porteur de projet en lui permettant d’identifier tous les enjeux juridiques qui se poseront, en lui donnant toutes les clés qui lui permettront de devenir crédible face à ses interlocuteurs.

SÉCURISER – en anticipant tout litige : cela passera par la création d’un environnement contractuel sécurisé.

DÉVELOPPER – passer à la vitesse supérieure en menant des actions concrètes : lever des fonds, faire entrer des tiers au capital de sa société, restructurer etc.

PÉRENNISER – implique la mise en place d’un projet viable sur la durée : cela passera par l’élaboration d’un suivi juridique rigoureux, la mise en place d’une veille juridique continue.

Parfois, si mon client en ressent le besoin, je vais encore plus loin en lui proposant du coaching pour l’aider à mettre en place son business plan, son pitch deck, à structurer ses offres, son site internet etc.

Voici donc le trio gagnant qui se cache derrière La Box Juridique™️.

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